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Rétro Luigi Comencini

La Femme du dimanche

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Rétro Luigi Comencini

La Femme du dimanche

À Turin, Garrone, architecte minable, mondain et obsédé sexuel, est assassiné. Le commissaire Santamaria, originaire de Rome et peu familier avec la capitale du Piémont, est diligenté sur l’affaire. Il soupçonne d’abord Anna Carla Dosio, riche bourgeoise qui s’ennuie auprès de son industriel de mari. En effet, deux domestiques qu’elle venait de renvoyer ont livré à la police un brouillon de lettre dans laquelle elle semblait souhaiter la mort de Garrone.
22 octobre 2024, 21:30
Corum - Opéra Berlioz

Fiche Technique

PaysItalie
Année de production1975
Durée01:45
Catégorie(s)Fiction
ScénarioAge, Scarpelli d'après le roman homonyme de Carlo Fruttero et Franco Lucentini
ImageLuciano Tovoli
Montage
MusiqueEnnio Morricone
Son
Interprète(s)Marcello Mastroianni, Jacqueline Bisset, Jean-Louis Trintignant, Aldo Reggiani, Pino Caruso
Production
Décor
VersionVOSTF

Réalisateur

Réalisateur Comencini Luigi

Luigi Comencini

Né à Saló en 1916. Il étudie l'architecture au Politecnico de Milan et se lie d'amitié avec Alberto Lattuada. Tous deux font de la critique cinématographique puis, avec Mario Ferrari, créent un organisme de conservation des films : la Cineteca Mario Ferrari qui devient la Cineteca italiana. Il réalise un court métrage en 1937 (La novelleta), fait un peu d'assistanat, interrompu par la guerre. En 1946, il signe le documentaire Bambini in citta. Proibito rubare, son premier long métrage, en 1948, est aussi consacré à l'enfance, thème qui court tout au long de sa filmographie (L'Incompris, Pinocchio, Eugenio, Un enfant de Calabre). Si ses premiers films constituent de l'honnête cinéma commercial, Comencini s'affirme dans la comédie mi-rose, mi-noire avec L'Argent de la vieille (1972), comédie qu'il sait pimenter d'un aimable érotisme (Mon Dieu, comment suis-je tombée si bas ?) sans exclure la critique sociale (Le Grand Embouteillage). Il est mort en 2007 à Rome.