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Sélection officielle / Official selection

Les Damnés de la mer

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Sélection officielle / Official selection

Les Damnés de la mer

Il n'y a pas si longtemps, Essaouira était la plus grande ville portuaire marocaine et l'on y faisait les plus grosses pêches de sardines au monde. Aujourd'hui les sardines se font rares et les pêcheurs doivent descendre plus au sud, à Dakhla, sur les côtes du Sahara occidental. Mais c'est dur là aussi : les grandes compagnies européennes, russes et asiatiques épuisent les eaux de leurs filets, et les pêcheurs locaux rentrent souvent les mains vides.
29 octobre 2009, 16:30
Salle Louis-Feuillade

Fiche Technique

PaysBelgique
Année de production2008
Durée01:50
Catégorie(s)Documentaire
ScénarioJawad Rhalib
ImageOlivier Pullincks
MontageKarima Saidi
MusiqueHassan Laarousi
Son
Interprète(s)
Production
Décor
VersionVOSTF

Réalisateur

Réalisateur Rhalib Jawad

Jawad Rhalib

Né en 1965, Jawad Rhalib est un cinéaste belgo-marocain connu pour son cinéma social et engagé. Parmi ses œuvres militantes : des fictions comme les comédies noires Boomerang (2010) et 7, rue de la folie (2014), ainsi qu'Insoumise (2015), et les long métrages documentaires El Ejido, la Loi du Profit (2006, sorti en salle en Belgique et en France), Les Damnés de la Mer (Compétition documentaire, Cinemed 2008; nommé au European Film Awards), Le Chant des tortues (2013), Au temps où les arabes dansaient (2018, TIFF). Ses films ont été sélectionnés en compétition et primés dans de prestigieux festivals. Et son dernier long métrage documentaire, Fadma est en compétition à Hot Docs 2020.

2024. Jawad Rhalib est connu pour son cinéma social et engagé. Son style réaliste s'axe sur une observation et une dénonciation sans concession des tares et des ravages politiques, économiques et religieux sur nos sociétés. Parmi ses œuvres: des fictions comme « 7, rue de la folie », « Insoumise » et « Amal, un esprit libre »… et des long métrages documentaires comme « El Ejido, la Loi du Profit »,« Les Damnés de la Mer », « Au temps où les arabes dansaient», « Fadma, même les fourmis ont des ailes »