Aya, une jeune fille de douze ans, bêche un lopin de terre aride.
Une voiture de gendarmerie s'approche. L'un des gendarmes lui remet une lettre et l'informe que son frère aîné qui effectuait son service militaire dans la gendarmerie, est mort dans un accident. Au guidon de son tricycle à moteur, Mouloud, le père, paysan modeste des Aurès, récupère le corps de son fils. Fatima, la mère est plongée dans une immense tristesse. Ce père, très affecté et aidé de sa fille Aya, parviendra t-il à redonner le sourire à sa femme et aux siens?
Une voiture de gendarmerie s'approche. L'un des gendarmes lui remet une lettre et l'informe que son frère aîné qui effectuait son service militaire dans la gendarmerie, est mort dans un accident. Au guidon de son tricycle à moteur, Mouloud, le père, paysan modeste des Aurès, récupère le corps de son fils. Fatima, la mère est plongée dans une immense tristesse. Ce père, très affecté et aidé de sa fille Aya, parviendra t-il à redonner le sourire à sa femme et aux siens?
28 octobre 2007, 22:00
Corum - Salle Pasteur
Fiche Technique
Pays | France/Algérie |
Année de production | 2007 |
Durée | 02:00 |
Catégorie(s) | Fiction |
Scénario | Amor Hakkar |
Image | Nicolas Roche |
Montage | Amor Hakkar, Lyonnel Garnier, Jean Dubreuil |
Musique | Fayçal Salhi, Joseph Macera |
Son | Kamel Mekesseur |
Interprète(s) | Aya Hamdi, Tounès Ait-Ali, Amor Hakkar, Bissa-Ratiba Ghomrassi, Inès Benzaim, Nourredine Menasria |
Production | |
Décor | Kim Nezzar |
Version | VOSTF |
Réalisateur
Amor Hakkar
Né en 1958, dans les Aurès. Sa famille s’installe à Besançon. Après des études scientifiques, il se découvre une passion pour le cinéma et l’écriture. Il réalise un court métrage Apprends-moi à compter jusqu’à l’infini (1990) puis un long métrage Sale temps pour un voyou (1992). En 2002, après un retour douloureux en Algérie, il découvre les Aurès. Inspiré par ce voyage, il écrit le scénario de La Maison jaune. Actuellement il prépare un long métrage Quelques jours de répit. Egalement écrivain, en 2001 il a signé La Cité des fausses notes, prix du livre Marcel Aymé.