Retour

Rétrospectives / Retrospectives

Un homme à brûler

Retour

Rétrospectives / Retrospectives

Un homme à brûler

Quand Salvatore revient en Sicile après deux ans d'absence, il soutient les paysans de son village dans leur combat. La mafia refuse en effet qu'ils occupent les terres que la loi leur a attribuées. L'opération est un succès, mais la mafia a d'autres moyens de pression…
26 octobre 2002, 11:00
Corum - Salle Einstein

Fiche Technique

PaysItalie
Année de production1962
Durée02:23
Catégorie(s)Fiction
ScénarioPaolo et Vittorio Taviani, Valentino Orsini
ImageToni Secchi
MontageLionello Massobrio
MusiqueGianfranco Intra
Son
Interprète(s)Gian Maria Volonte, Didi Perego, Spiros Focas, Turi Ferro, Marina Malfatti, Vittorio Duse
Production
DécorPiero Poletto
Version

Réalisateurs

Réalisateur Taviani Vittorio

Vittorio Taviani

Paolo et Vittorio Taviani sont tous deux nés à San Miniato, en Italie, dans la province de Pise. Après avoir suivi des cours d'Art à L'Université de Pise, les frères Taviani se tournent vers le cinéma, après la découverte en salle de Paisa de Roberto Rossellini. En 1954, ils réalisent le court métrage documentaire San Miniato Luglio '44 qui narre le massacre de la population de leur village natal par les nazis. Ils ont réalisé plusieurs autres films jusqu'en 1967, année où ils signent I sovversivi, dans lequel ils donnent un avant-goût de l'année 1968. En 1977, leur carrière rayonne à l'international avec le film Padre Padrone avec lequel ils remportent la Palme d'Or à Cannes. Ils sont ensuite récompensés par Le Grand Prix du Jury à Cannes avec La Notte di San en 1982. Les Taviani ont adapté des œuvres littéraires pour plusieurs de leurs films, de Pirandello à Tolstoï (Il Sole anche di notte, Resurrezione) en passant par Goethe (Le affinità elettive). C’est avec César doit mourir, adaptation libre du "Jules César" de Shakespeare interprétée par des détenus d'un quartier de haute sécurité à Rome, que les frères Taviani ont remporté l’Ours d’or à Berlin en 2012. Ils sont séparés en 2018 avec la mort de Vittorio.


Paolo Taviani