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Buñuel, la période mexicaine / Buñuel the Mexican period

La Vie criminelle d'Archibald de la Cruz

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Buñuel, la période mexicaine / Buñuel the Mexican period

La Vie criminelle d'Archibald de la Cruz

Un homme dispose, grâce à une boîte à musique magique, du pouvoir de faire mourir les femmes simplement en souhaitant leur mort : s'il imagine égorger, fusiller ou étrangler sa victime, celle-ci meurt effectivement égorgée, fusillée ou étranglée quelques instants plus tard.
3 novembre 2000, 19:00
Salle Louis-Feuillade

Fiche Technique

PaysMexique
Année de production1955
Durée02:10
Catégorie(s)Fiction
ScénarioLuis Buñuel, Eduardo Ugarte d'après le roman de Rodolfo Usigli
ImageAgustín Jimenez
MontageJorge Bustos
MusiqueJorge Pérez
SonRodolfo Benitez
Interprète(s)Ernesto Alonso, Miroslava Stern, Rita Macedo, Adriana Walter, José Maria Linares Rivas, Rodolfo Landa, Andrea Palma, Carlos Riquelme, Eva Calvo, Leonor Llausa, Carlos Martinez Baena
Production
DécorJesus Bracho Herrera
Version

Réalisateur

Réalisateur Buñuel Luis

Luis Buñuel

Né à Calanda (province d'Aragon, Espagne) en 1900. Études secondaires chez les pères jésuites, puis études supérieures (scientifiques) à l'Université de Madrid. En 1925, il se lie à Paris avec le groupe surréaliste. Assistant notamment de Jean Epstein, il produit et réalise sur un scénario de Dali le court métrage d'avant-garde, Un chien Andalou, suivi par son premier long, L'Âge d'or (1930), audacieux brûlot surréaliste. Revenu en Espagne en 1939, la victoire du franquisme le contraint à s'expatrier, d'abord à Hollywood puis au Mexique où il s'établit en 1946. Sa carrière se partage alors entre le Mexique (Los Olvidados, 1950 ; El, 1953 ; L'Ange exterminateur, 1962), la France (Le Journal d'une femme de chambre, 1964 ; Belle de jour, 1967 ; Le Charme discret de la bourgeoisie (1972), Le Fantôme de la liberté (1974), Cet obscur objet du désir, 1977) et l'Espagne (Viridiana, 1961 ; Tristana, 1970). Révolte sociale, humour noir, amour fou, onirisme, magie visuelle, le tout baigné dans la tradition picaresque espagnole et "sanctifié" par le surréalisme. En 1989, avec la collaboration de Jean-Claude Carrière, il publie un livre de souvenirs : Mon dernier soupir. Il meurt le 19 juillet 1983 à Mexico.